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PV par vidéo : ceinture, voie de bus, assurance… la liste de toutes ces petites infractions qui coûtent cher

Quelles sont, dans notre pays, les infractions concernées par la vidéo-verbalisation ? Combien en existe-t-il ? Découvrez la liste officielle dans notre article.

La procédure de vidéo-verbalisation des infractions routières existe depuis 2008 dans notre pays mais s’est particulièrement étendue depuis fin décembre 2016, avec alors 11 catégories d’infractions sanctionnables par l’entremise de ces écrans de contrôle, autrement dit sans interception du conducteur en bord de route. Une douzième infraction est même venue grossir les rangs de cette liste en 2019.

La voie électronique

Rappelons que cette procédure permet à un agent assermenté de constater sur un écran de contrôle, une infraction au code de la route filmée par une caméra de vidéo-protection implantée sur la voie publique. Auquel cas, un procès-verbal est édité par voie électronique et transféré au Centre national de traitement de Rennes (CNT) qui lui-même se chargera ensuite classiquement d’adresser ce PV au domicile du titulaire de la carte grise fautif.

Cependant, nous sommes encore nombreux à ignorer quelles infractions au code de la route sont concernées par ces dispositifs implantés dans plus d’une centaine de municipalités françaises. L’occasion de pallier ce manque, avec la liste complète ci-dessous (d’après la source officielle du site internet dédié du gouvernement).

Les 12 infractions contrôlées par la vidéo-verbalisation et radars homologués

  • Le non-respect des signalisations imposant l’arrêt des véhicules (feu rouge, stop…)
  • Le non-respect des vitesses maximales autorisées
  • Le non-respect des distances de sécurité entre les véhicules
  • L’usage de voies et chaussées réservées à certaines catégories de véhicules comme les bus et les taxis
  • Le défaut du port de la ceinture de sécurité
  • L’usage du téléphone portable tenu en main
  • La circulation, l’arrêt, et le stationnement sur les bandes d’arrêt d’urgence
  • Le chevauchement et le franchissement des lignes continues
  • Le non-respect des règles de dépassement
  • Le non-respect des sas vélos
  • Le défaut de port du casque à deux-roues motorisé
  • Défaut d’assurance

Source : www.automobile-magazine.fr

19 octobre 2021par Manuèle Maniez
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Voitures électriques : un chargeur ultra-puissant, c’est pour bientôt

C’est l’un des principaux problèmes des véhicules électriques, la recharge. Cette dernière est encore souvent bien trop longue pour une autonomie réduite. Mais une entreprise pourrait bien révolutionner cela.

ABB est une société spécialisée dans la conception d’équipements électriques. Vous n’en avez probablement jamais entendu parler, mais cette entreprise suisse pourrait bien révolutionner l’industrie automobile de demain. Et ce, grâce à son nouveau chargeur ultra-puissant, le Terra 360.

Encore plus efficace que les superchargeurs de Tesla, cette borne indépendante permettrait à une voiture électrique de récupérer 100 km d’autonomie en seulement 3 minutes. Pas mal non ? À titre de comparaison, les fameux superchargeurs de Tesla, eux, tournent autour des 320 km en 15 minutes. Soit une recharge de 64 km pour 3 minutes.

Le progrès est donc potentiellement immense mais quelques obstacles se posent encore en travers du chemin du Terra 360.

Trop développé pour le moment

Le chargeur de chez ABB est encore trop puissant pour les véhicules actuels. Ce dernier peut injecter jusqu’à 360 Kw tandis que les modèles les plus puissants atteignent à peine les 300 Kw. Nous parlons ici de la Porsche Taycan et de la Lucid Air.

Cependant, le chargeur sera bientôt installé en Europe puis dans le monde. Il ne sera simplement pas utilisable à pleine puissance pour le moment mais comme nous vous le disions, son potentiel est saisissant.

Source : www.auto-moto.com

12 octobre 2021par Manuèle Maniez
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Comment conduire par temps de pluie sur autoroute ?

Sur autoroute, on observe deux phénomènes par temps de pluie : la perte de visibilité et la perte d’adhérence du véhicule sur la chaussée. Suivez nos conseils pour un trajet en toute sécurité.

Les consignes de sécurité à respecter en cas de pluie sur autoroute

1. Réduire votre vitesse
Quand il pleut sur l’autoroute, vous devez rouler 20 km/h moins vite que d’habitude. Sur une portion limitée à 130 km/h, votre vitesse est limitée à 110 km/h.

2. Allonger vos distances de sécurité
Le saviez-vous ? Sur une chaussée mouillée, la distance d’arrêt est multipliée par deux.

3. Voir et être vu
En cas de pluie sur votre trajet, allumez vos feux de croisement. N’utilisez jamais vos feux de brouillard ! C’est dangereux et interdit car ils risquent d’éblouir les autres conducteurs.

Veillez toujours à avoir des essuie-glaces nets. Ils sont un élément important de votre sécurité. Pensez à les remplacer une fois par an, de préférence en automne.

L’aquaplanage : qu’est-ce que c’est ?

L’aquaplanage ou aquaplaning est une perte de contrôle du véhicule sur une chaussée recouverte d’eau. Pour garder le contrôle de votre véhicule :

  • Réduisez votre vitesse, d’autant plus que la pluie est violente
  • Ne freinez pas brusquement, levez plutôt doucement le pied de l’accélérateur
  • Veillez à avoir des pneus en bon état et bien gonflés

 

Source : www.vinci-autoroutes.com

5 octobre 2021par Flora Lemble
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Voiture électrique, l’intelligence avant la performance

À l’occasion du Salon IAA de Munich, l’on a pu constater que l’intégration du digital dans la voiture est devenue un sujet central, voire stratégique.

Quand l’iPhone a été dévoilé en janvier 2007, personne ou presque n’avait jamais entendu le mot « smartphone », et aller sur internet avec son téléphone était un concept très lointain connu seulement de quelques geeks et autres early adopters (*). On connaît la suite, et la fulgurante adoption de ces appareils par le grand public, une adoption qui a été à l’origine de l’une des plus grandes révolutions que le monde ait connues, s’invitant dans les moindres détails de nos vies, et en provoquant de nombreuses autres, par cascades.

Dans un autre registre, plus récemment, il n’y a pas si longtemps (moins de 10 ans), en essais presse automobile, lorsque je demandais si tel modèle était équipé d’Apple CarPlay ou Android Auto, ou lorsque je m’enquérais de la taille de la diagonale de l’écran, tout le monde se retournait vers moi en me regardant comme un extraterrestre. Quand je dis tout le monde, j’inclus les responsables de la marque, mais aussi nombre de mes collègues journalistes auto.



À cette époque, l’intégration du numérique (ou digital, comme vous voulez) dans l’automobile n’était pas un sujet, loin de là. Une voiture était d’abord jugée sur sa ligne, ses finitions, et bien sûr ses caractéristiques routières. Jusqu’à la caricature d’ailleurs, comme quand tel magazine ou site auto poussait une Clio de base dans ses retranchements pour en déduire qu’elle était légèrement sous-vireuse, une information d’une importance capitale pour aller au supermarché ou chercher les enfants à l’école, bien sûr.

De fait, en ces temps reculés, le numérique et la connectivité étaient vus comme des gadgets sur lesquels les constructeurs investissaient peu, et dont la présence était évoquée en dernier recours, et jetée en pâture pour satisfaire la curiosité de certains journalistes ou blogueurs un peu geeks et surtout un peu casse-pieds. Il fallait s’estimer heureux d’avoir éventuellement le Bluetooth ou une prise USB.

La voiture électrique, un ordinateur sur roues

Mais ça, c’était avant. Dans ce domaine aussi, la voiture électrique a bouleversé la donne. Nous nous penchions la semaine dernière sur les nouveaux standards de design intérieur et le « tout-à-l’écran » qui fait désormais loi dans l’écrasante majorité de la production actuelle de voitures électriques.

Ces écrans ne sont pas là par hasard, ils ne sont finalement que les vecteurs, la représentation visuelle du flot incessant de données qui irriguent aujourd’hui la conduite automobile, que ce soit pour la sécurité, le confort ou l’infodivertissement. Les concepteurs d’interfaces automobiles sont d’ailleurs aujourd’hui parmi les ingénieurs les plus recherchés, et les centres de design se musclent sans cesse, quitte à faire appel à des studios extérieurs, qui prennent en charge les interfaces homme-machine (IHM), un élément devenu central, et même stratégique dans la conception et la commercialisation d’une voiture, a fortiori électrique. Une compétence qui inclut des sujets « à haute valeur innovante pour le conducteur, tels que la conduite automatisée, la réalité augmentée, les Interactions Homme-Machine (IHM) multimodales pour la détection et interprétation du geste, du regard et de la parole », comme l’indique Human Design Group, une société spécialisée dans les IHM et mandatée par le groupe PSA pour concevoir les cockpits de ses nouveaux modèles.

Aujourd’hui, tout le monde est monté en compétence sur le sujet, les marques, leurs représentants, et les consommateurs. Ce qui paraissait de la science-fiction il y a dix ans est banal aujourd’hui. Je me souviens par exemple du buzz lorsqu’Audi a dévoilé son Virtual Cockpit lors de l’édition 2014 du CES à Las Vegas. J’y étais et je peux témoigner que c’était l’une des attractions de ce salon pourtant pas avare en innovations technologiques. Ou quand le même Audi, quelques années auparavant (2009), dévoilait l’intégration de Google Earth à bord de ses modèles haut de gamme. Désormais, l’équipement d’une voiture en prestations « numériques » (écrans, commandes tactiles, connectivité, accès à internet pour les données de circulation temps réel, Apple CarPlay, Android Auto, etc.) devient un critère d’achat au même titre que la motorisation. Mieux, à l’ère de l’électrique, la puissance ne semble plus être réellement un point essentiel, et la cylindrée d’un moteur appartient évidemment au passé. On parlera éventuellement de réactivité et de reprises, et aussi, bien sûr, d’efficience et d’autonomie. Les critères du nouveau conducteur se situent davantage dans le confort, l’espace intérieur (et donc le design intérieur) et l’intégration des technologies.

L’interface avant la performance

Pour revenir au parallèle avec les smartphones, il ne vous aura certainement pas échappé que l’essentiel de la communication et du marketing autour de ces derniers depuis plusieurs années ne se situe plus sur leurs fonctions premières (téléphoner, communiquer, aller sur internet), mais sur leurs capacités photo, et plus généralement autour de l’image, dans toutes les acceptions du terme. On a un peu l’impression qu’il est en train de se passer la même chose avec l’automobile. Si sa vocation première, le déplacement, reste fondamentale, elle n’est plus perçue de la même façon, et la façon de vivre le voyage est aussi importante que le voyage lui-même. D’où ce focus sur les équipements numériques, qui vont rendre l’expérience plus agréable, plus fluide, plus ludique, à défaut de se défouler sur la pédale de droite.

Nous en avons eu récemment une illustration très parlante, à l’occasion du Salon IAA qui s’est tenu à Munich la semaine dernière, au cours duquel fut présentée la nouvelle Renault Mégane électrique e-Tech. Une présentation qui était en grande partie orientée sur l’interface utilisateur – au passage visiblement excellente – fondée sur deux grands écrans et gérée par Android Automotive (à ne pas confondre avec Android Auto). L’accent était mis sur la fluidité, l’ergonomie et le nombre de commandes disponibles. Et, chose assez rare pour être soulignée, les délégués Renault semblaient parfaitement et naturellement maîtriser leur sujet.

Ce qui change du temps où, en matière d’applications et de fonctionnalités numériques, vous aviez l’impression d’en connaître plus que le vendeur. Bref, l’avènement de l’électrique conduit à une formidable acculturation sur la gestion et la visualisation des données, et sur tout l’environnement informatique d’une voiture.

Allez, pour conclure, rien de tel qu’un petit voyage dans le temps des interfaces digitales (au sens « chiffres ») automobiles, juste pour rappeler qu’elles ne datent pas vraiment d’hier. Accrochez-vous, certaines sont gratinées.



(*) Ou primoadoptants si vous préférez, mais mon correcteur orthographique ne reconnaît pas ce mot

Source : www.automobile-propre.com

21 septembre 2021par Manuèle Maniez
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